Le monastère, 1925, AMC 38Num41
Noviciat, AMC 2Fi315
Galerie supérieure, AMC 14Fi53
Novices, double galerie, AMC 2Fi1628
Méditation et étude, AMC 2Fi207
Bibliothèque pour l'étude, env. 1950, AMC 14Fi60
Des moines en armes, AMC 32Fi214
Les moines sauveteurs, AMC 2Fi1932 © Abbaye
Tir du canon porte-amarres, AMC 32Fi216 © Abbaye
Sauvetage, AMC 32Fi215 © Abbaye
Moines au travail, AMC 2Fi1898 © CP Mona
Réfectoire des moines, AMC 2Fi340 © CP Giletta et cie
Peinture du mur du réfectoire des religieux, AMC 2Fi1979
Réfectoire actuel © F. Poydenot
Salle du chapitre, AMC 2Fi1919
Le chapitre, env. 1960, AMC 2Fi195 © Combier Imprimeur Mâcon CIM
Salle du chapitre, 2017 © F. Poydenot
Orphelinat de Lérins, AMC 32Fi230 © Abbaye
Une école de garçons, 1909, AMC 1R56
Imprimerie de l'abbaye, AMC BH542_101 © Abbaye
Vente de la Lérina, affiche, v. 1880, AMC 23Fi13
Etiquette de la Lérina, v. 1880, AMC 32Fi236
L'ensemble abbatial, AMC 32Fi229
Vue de l'église abbatiale, sans date (années 40) ® Phot. André Steiner
La "clôture" monastique, porte close par un moine ® Phot. André Steiner, sans date (années 40)
Moine en prière, AMC 14Fi61 (années 50)
Moine lisant entre les arcades, AMC 14Fi58 (années 50-60)
Article Nice-Matin, 1985 © AMC 80W30 - coll. Presse
Vestiaire des moines, 2017 © F. Poydenot
Lourde porte cloutée de l'abbaye ® Photo André Steiner

Bibliothèque pour l'étude, env. 1950, AMC 14Fi60

Bibliothèque pour l'étude, env. 1950, 14Fi60

La bibliothèque des moines bénédictins de Ganagobie conserve également des documents sur le monastère de l’île Saint-Honorat :

http://www.ndganagobie.com/bibliotheque.htm

Pour savoir ce que contenait la bibliothèque, se reporter à l'article de M. Dulaey, « La bibliothèque de Lérins dans les premières décennies du IVe s. d’après l’œuvre d’Eucher de Lyon », Augustinianum 46, 2006, p. 187-230.

Un extrait : "Sur la base d’études portant sur la culture des Lériniens, auxquelles P. Courcelle avait frayé la voie[1], Cl.-M. Kasper a pu énumérer en quelques pages denses les volumes qui ont dû faire partie de la bibliothèque du monastère. Le De contemptu mundi et les Instructiones d’Eucher ont été largement mis à contribution dans ces travaux, mais les Formulae ne le furent guère. Il est vrai que le laconisme de l’opuscule semble de prime abord décourager toute recherche de sources. Pourtant, dans ce petit manuel qu’il composa à Lérins entre 432 et 434, Eucher déclare donner des interprétations des symboles bibliques traditionnelles ; il veut, dit-il, « exposer les règles de l’intelligence spirituelle promises, en voyant successivement pour chaque vocable la valeur symbolique qu’on lui donne habituellement ». De fait, en s’appuyant sur les symboles rares énumérés par Eucher, les versets bibliques inattendus ou peu cités par lesquels il illustre ou justifie ses interprétations, on peut souvent remonter au responsable de l’exégèse mentionnée. J’ai déjà pu montrer ainsi que de nombreux ouvrages de Jérôme et d’Augustin ont été exploités par Eucher. La bibliothèque de Lérins renfermait vraisemblablement encore les écrits de bien d’autres auteurs : les livres de Cassien, des traductions latines d’Origène et les écrits d’Ambroise, ainsi que divers textes de Tertullien, Cyprien, Paulin et d’autres encore."


[1] P. COURCELLE, Les lettres grecques en Occident, Paris 1943 (19482) ; Id., « Nouveaux aspects de la culture lérinienne », REL 46, 1968, p. 379-409 ; repris dans Opuscula selecta, Paris 1984, p. 249-279 ; cf. aussi F. GLORIE, « La culture lérinienne », SE 19, 1969, p. 71-76.

 

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