Batailles de fleurs en calèches

Grande bataille de fleurs au bord de la mer (2Fi1929)

Les batailles de fleurs, aujourd'hui appelés corsos fleuris, ont longtemps constitué des fêtes prisées des hivernants, festivités qui remontent à 1835, où l'on trouve trace d'une "fête des fleurs".

Annoncées par des salves de coup de canon, elles se déroulent en mars-avril à la Belle Epoque. Des bannières de soie étaient confectionnées pour l'occasion, remises en récompense à ceux des candidats en lice, qui s'étaient montrés les plus méritants au cours du défilé.

L'horticulture est une longue tradition régionale, et les marchés aux fleurs sont toujours présents sur la Côte d'Azur.

1884, arrêté municipal, circulation sur la Croisette, registre 2D3Jx5_236, Bataille de fleursAvril 1895, article sur la bataille de fleurs, Une du Courrier de Cannes 1899, calèche fleurie (AMC 26S3_22)Calèche de bataille de fleurs, avec Mme Capron, 19S38_04Calèche de dames, bataille de fleurs, fin XIXe (19S38_5)1911, Cannes Riviera, Bataille de fleurs (33S7)1911, bataille de fleurs, suite (33S7) - Phot. Van UkkelBataille de fleursBataille de fleurs11Fi28.jpg11Fi29.jpg15Fi2.jpgBannière représentant Cannes, 1949 (11S172)21Fi10.jpgAffiche d'Emmanuel Bellini, bataille de fleurs, don (21Fi1666)9Fi170_01.jpg9Fi172.jpgChar bataille de fleursBataille des années 70 (19Fi248)

2 commentaires

  • Agissez, 16 octobre 2024 à 20h41Répondre
    J'ai vécus le premier corsos en 1945, nous avions été amenés par nos monitrices. J'avais 5 ans à l'époque. Je suis arrivé à Cannes, au début de l'année 45, avec une étiquette au cou. Nous demeurions sur l'avenue Delattre de Tassigny. (Qui n'avait pas ce nom à ce moment, la mémoire me fait défaut) mais, c'était dans la villa des Iris. Trés belle villa, de 3 étages et toute blanche, avec un grand parc.
    Je demeure au Québec présentement, mais je remercie la Ville de Cannes, pour son accueil chaleureux de 1945 à 1948.
  • Archives municipales de Cannes, 17 octobre 2024 à 10h08Répondre
    Bonjour, nous vous remercions pour ce témoignage très intéressant.