Le Petit Juas et ses traverses
Sur le chemin du Petit Juas, dans les années 1920 à 1930, logent déjà beaucoup de journaliers, mais les villas abritent surtout des propriétaires dont les villas Calvy, Primavera, le chalet des Syrphes, les villas Montboissier, Les Aubépines, Sainte-Rose, la villa du Ternay, le chalet Delphine, la villa Barety, La Bénissons-Dieu, les propriétés Juglar, Pallon, Champendal, Chabert, les villas Francine, Cora, Saint-Joseph, les chalets Isnard et Saint-Vincent, les villas Petit-Juas et Anaïs. De la villa Saint-Joseph isolée sur son grand terrain, à la villa Germaine, au 64 avenue du Petit Juas, vendue aux enchères en 1937, ces quartiers se peuplent dès la fin de la Belle Epoque, et surtout dans la première moitié du XXème siècle, avec des villas convoitées aujourd'hui pour leur calme, et leur proximité avec le centre-ville.
Les édifices sont présentés ici, dans l'ordre de la descente de l'avenue du Petit Juas, à partir de la villa Isnard. Il est plaisant d'étudier tous les détails de l'architecture sur cette avenue, qui reste arborée. Les architectes présents sur ces quartiers ont fait de belles réalisations.
Les lotissements naissent dans les années 20 et les terrains vont beaucoup rétrécir.